Nombreuses sont les Varoises à se réveiller chaque nuit à la même heure, un trouble du sommeil aux causes aussi physiques qu’émotionnelles.
Signification des réveils nocturnes – CREDIT : pixabay
De nombreuses Varoises confient vivre des réveils nocturnes à des heures quasi identiques chaque nuit, un phénomène qui perturbe leur sommeil et les pousse à s’interroger. Loin d’être anodins, ces réveils sont interprétés différemment selon leur horaire, à la lumière des liens entre le corps, les émotions et parfois même la spiritualité. Pour beaucoup, ces interruptions nocturnes sont devenues un signal d’alarme de leur état intérieur.
Des réveils entre 23h et 1h, une digestion difficile ou une blessure émotionnelle
Chez certaines femmes, les réveils précoces autour de minuit s’accompagnent souvent d’une sensation d’inconfort digestif. D’après la médecine chinoise, cette période correspond à l’activité de la vésicule biliaire. Ces réveils peuvent aussi évoquer un trop-plein émotionnel, des tensions ou des contrariétés non exprimées. Pour les Varoises concernées, ces instants marquent parfois un ressenti de solitude ou une frustration difficile à verbaliser.
1h à 3h du matin, quand le foie prend le relais et que les émotions remontent
Ce créneau est particulièrement redouté par certaines habitantes, car il s’accompagne souvent d’un sommeil plus léger et d’une difficulté à se rendormir. Symboliquement lié au foie, ce moment de la nuit peut traduire une surcharge toxique, mais aussi un débordement d’émotions négatives telles que la colère ou l’amertume. Ces réveils génèrent un sentiment d’agitation intérieure, d’autant plus marquant lorsqu’aucun facteur extérieur ne semble les expliquer.
3h à 5h du matin, un air de mélancolie souffle sur la nuit
Entre 3h et 5h, c’est la sphère pulmonaire qui est en cause. Ces réveils sont souvent décrits par les Varoises comme teintés de nostalgie ou de chagrin latent. Certaines évoquent un sentiment diffus de tristesse ou un besoin de respirer plus librement, au propre comme au figuré. Ce moment de la nuit coïncide aussi avec un ralentissement profond du corps, propice aux questionnements existentiels.
Entre 5h et 7h, quand le corps appelle au lâcher-prise
Les réveils en fin de nuit, au moment où le gros intestin est en activité, sont fréquemment associés à un blocage psychologique. Plusieurs femmes rapportent un réveil anxieux, comme si le stress de la journée les précédait dès l’aube. Une impression de ne pas avoir vidé leur esprit, ni digéré les événements récents, est souvent exprimée.
