“La musique, c’est mon moyen de m’exprimer”, confidences de Flora (The Voice)

À seulement 17 ans, Flora, une jeune talentueuse originaire du Var, fait sensation dans l’univers de “The Voice”. Découverte musicale dès l’âge de 8 ans et demi, elle a trouvé dans la musique un refuge face aux épreuves de la vie, notamment le racisme et le harcèlement scolaire. Cette passion l’a conduite sur les chemins de la création et de l’expression, où piano et chant sont devenus ses moyens de libération émotionnelle.

La musique, un exutoire vital

Pour Flora, la musique est bien plus qu’une passion ; c’est un véritable moyen d’expression. “C’est difficile pour moi de parler de mes émotions, donc je préfère les chanter”, confie-t-elle. Ses inspirations sont vastes, allant de Michael Jackson, en passant par Beyoncé et Slimane, reflétant une ouverture musicale et une volonté de toucher à tout.

Une audition à l’aveugle mémorable

Son audition à l’aveugle s’est révélée être un moment inoubliable, avec les quatre coachs se retournant, un choix final porté sur Mika. “C’était un moment incroyable, ma famille est même montée sur scène”, se souvient-elle. Flora décrit une émotion intense, amplifiée par le sentiment d’un déjà-vu, elle qui avait déjà participé à “The Voice Kids” en 2020.

Entre “The Voice Kids” et “The Voice”

Interrogée sur son parcours depuis “The Voice Kids”, Flora révèle avoir continué ses cours de chant, participé à des concours, et notamment remporté le grand prix de la chanson à Alès. À propos des différences entre les deux émissions, elle note : “C’est très différent, ‘The Voice’ est plus exigeant, le niveau chez les adultes est assez haut.”

Une chanson, un hommage

Le choix de sa chanson d’audition, une vieille chanson française, était un hommage à sa tante décédée. “C’est un moyen de connexion avec ma tante quand je chante. Ça me touche beaucoup”, explique Flora.

Des aspirations profondes

Quant à ses attentes pour “The Voice”, Flora espère toucher le public et véhiculer un message d’espoir face au harcèlement et au racisme. “C’est un moyen de montrer que malgré les épreuves, on peut se relever et aller loin”, conclut-elle avec détermination.