La France présente sa candidature pour les Jeux Olympiques d’hiver 2030, avec un projet porté par les Alpes et une vision de durabilité et d’unité.

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Jeux olympiques hiver – CREDIT : VarActu

Dans une dynamique olympique renouvelée, la France présente sa candidature pour organiser les Jeux Olympiques d’hiver 2030, une ambition qui coïncide avec les préparatifs des JO d’été de Paris en 2024. Les régions Auvergne Rhône-Alpes et PACA, soutenues par le CNOSF, se mobilisent pour cette nouvelle aventure sportive.

Une candidature aux enjeux importants

La France, avec les régions Auvergne Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur à l’avant-garde, se lance dans la course pour accueillir les Jeux Olympiques d’hiver de 2030. Un dossier rigoureusement préparé sera présenté au Comité International Olympique (CIO) ce mardi 7 novembre, marquant une étape cruciale dans la conquête de l’organisation de cet événement d’envergure mondiale. Les responsables français, dont la ministre des sports Amélie Oudéa-Castéra, les présidents de région et le président du CNOSF, David Lappartient, défendront le projet le 21 novembre avec conviction et passion.

Des infrastructures existantes et une construction

Fort d’un budget de 1,5 milliard d’euros et s’appuyant sur des infrastructures majoritairement existantes, le projet français prévoit une seule construction majeure : une patinoire à Nice. Les sites envisagés pour les diverses épreuves incluent le Grand-Bornand pour le biathlon, Courchevel pour le ski alpin et La Clusaz pour le ski nordique, tandis que la piste de bobsleigh de La Plagne, héritage des JO d’Albertville en 1992, pourrait être réutilisée. Cependant, les détails de cette répartition ne sont pas encore définitivement arrêtés.

Une union régionale stratégique

La collaboration entre Laurent Wauquiez et Renaud Muselier, deux figures politiques aux parcours distincts, illustre la capacité de la France à unir ses forces au-delà des clivages pour porter un projet commun. L’implication de David Lappartient, reconnu pour ses qualités de rassembleur, est saluée comme un facteur clé dans la concrétisation de cette candidature.

Concurrence internationale

La France n’est pas seule dans cette course, avec la Suède et la Suisse également en lice pour l’organisation des Jeux de 2030. La compétition promet d’être relevée, mais la détermination et la préparation méticuleuse de la candidature française sont des atouts considérables.

Vers un rêve olympique renouvelé

Alors que la France se prépare déjà à accueillir le monde en 2024, l’horizon 2030 se dessine avec l’espoir de célébrer à nouveau l’esprit olympique sur les terres enneigées des Alpes. Le mois de novembre sera décisif pour l’avenir de cette ambition, qui pourrait apporter une nouvelle ère de rayonnement international au pays.

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