Dans un revirement surprenant, une femme de 47 ans a reconnu avoir inventé une histoire d’agression à Six-Fours-les-Plages. Initialement, elle avait déclaré avoir été victime d’une attaque violente à son domicile.
fausse agression juive à six-fours-les-plages – CREDIT : Var Actu
Finalement c’était une fausse agression juive à Six-Fours-les-Plages
Cependant, l’enquête, appuyée par les bandes de vidéosurveillance, a révélé qu’il s’agissait d’une mise en scène. Cette révélation a entraîné des conséquences judiciaires sérieuses pour la femme, qui a évoqué des problèmes financiers et une addiction au jeu comme motifs de son acte désespéré.
Une mise en scène dévoilée
À Six-Fours-les-Plages, une affaire troublante s’est récemment dénouée. Une femme de 47 ans, de confession juive, a admis avoir fabriqué de toutes pièces une histoire d’agression. Elle avait initialement déclaré avoir été attaquée chez elle le 8 novembre, une déclaration qui avait rapidement mobilisé les autorités.
La vérité émerge
Les enquêteurs, en examinant les bandes de vidéosurveillance, ont découvert la réalité : il n’y avait eu aucune agression. Cette révélation a conduit à la mise en garde à vue de la femme pour “dénonciation mensongère d’une infraction imaginaire”. Face aux preuves accablantes, elle a reconnu avoir inventé son agression, évoquant des problèmes financiers et une dépendance au jeu.
Des conséquences judiciaires et personnelles
Cette affaire a non seulement provoqué une mobilisation inutile des forces de l’ordre mais a également révélé des problèmes personnels profonds. Les enquêtes complémentaires ont révélé des faits d’abus de confiance liés à des dépenses excessives dans un casino. La femme a été présentée au parquet de Toulon et devra comparaître devant le tribunal pour répondre de ses actes.
Mesures de contrôle judiciaire
En attendant son jugement, la femme a été placée sous contrôle judiciaire avec des conditions strictes. Elle doit suivre un traitement pour son addiction et lui est interdit de fréquenter des établissements de jeux.