Depuis lundi, le procès de Ouicem Hamidi s’est ouvert pour faire la lumière sur le viol pour lequel il est accusé sur une mineure de 15 ans au Pradet en janvier 2020.

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Palais de justice de Toulon – Crédit photo : Var Actu

Les fait se sont déroulé dans la nuit du 18 au 19 janvier 2020 dans un appartement d’un ami entre la victime et l’accusé.

Leur ami était parti se coucher avec sa petite amie à l’étage, L’ado s’est retrouvée à devoir partager un clic-clac avec Ouicem, de onze ans son aîné. “Elle nous a indiqué qu’avant de s’endormir, l’accusé avait tenté plusieurs approches, en la prenant par la taille puis en tentant de lui caresser le sexe, s’introduisant par un trou à l’entrejambe de son jogging”, détaille à la barre la directrice de l’enquête.

“Je n’avais pas prévu de passer la nuit là-bas, explique l’adolescente à la cour d’assises du Var. Mais Ouicem m’avait appâtée en utilisant ma dépendance au shit, en me disant qu’il m’emmenait en toucher sur Marseille.”

Un vidéo de 7 secondes ( deux secondes sur son visage horrifié, et 5 secondes sur sa culotte et son bas souillés. Une courte vidéo que la jeune fille avait envoyé sur Snapchat à sa copine le 19 janvier à 4h43 précisément du matin. Juste après elle affirme avoir été victime d’un viol commis par Ouicem Hamidi dans le clic-clac.

Pendant toute la durée du procès la jeune fille était choquée, fragilisée, et blottie sur son père.

12 ans de réclusion ont été requis à l’encontre du violeur présumé.